CAN U20 : Simon Sabio 18 ans , sérieux ?

Le Soudan du Sud fait l’actualité lors de cette CAN U20 en Egypte grâce à ses résultats, mais aussi surtout grâce à son gardien de but.

Qualifiés ce dimanche pour la première fois en quarts de finale de la compétition, les Bright Stars le doivent à Godwill Yogusuk Simon Sabio. Du haut de ses 18 ans, qui paraissent surréels, le gardien de but agite les réseaux sociaux depuis le début de la compétition.

Les Sud-soudanais font la fête depuis la qualification de leur équipe en quarts de finale de la CAN 20 en Egypte. Mal embarqués, les Bright Stars finissent par se relancer avec une victoire 1-0 face à la Centrafrique.

Une première pour cette nation dans une compétition de la CAF avec une prestation qui a valu à leur gardien de but le prix de l’homme du match. Mieux, ils se sont qualifiés après le nul 0-0 enregistré ce dimanche face à l’Ouganda. Un parcours qui porte sans doute en partie la signature de Godwill Yogusuk Simon Sabio, âgé seulement de 18 ans.

Cependant, il n’est pas dans les meilleures tendances sur les réseaux sociaux. Pas en raison de ses performances, mais plutôt en raison de son âge qui fait débat. Certains tweets estiment qu’il a l’air bien plus âgé que son âge. Pourtant, selon les données officielles enregistrées à la CAF, Simon Sabio est né juste en 2004, ce qui lui donne 18 ans.

Vous avez bien lu, il n’a que 18 ans. C’est un joueur talentueux, évoluant au Kator Football Club au Soudan du Sud, qui se démarque positivement lors de la Coupe d’Afrique des Nations U-20 en cours en Égypte.

Un physique qui « trahit » l’âge ?
Âgé seulement de 18 ans, Godwill Yogusuk Simon Sabio a un physique tout de même bien impressionnant et imposant. Pour les internautes, il paraît bien plus âgé pour un footballeur de son âge. Ce qui est encore plus épatant, ce sont les rides qu’il présente sur son visage. C’est d’autant plus surprenant alors qu’il n’a officiellement que 18 ans, selon son âge dans la compétition. Pourtant, les rides du visage font partie du phénomène naturel d’évolution de la peau au fil des années. Sauf si, à la décharge du joueur et de sa fédération, tout pourrait s’expliquer en partie par une variation génétique.

Africafootunited

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